Mes histoires libertines

Voici donc mon premier récit, le premier retour de l'une de mes expériences libertines. Comme je l'avais dis dans un précédent article, aucun nom ne sera donné ( uniquement des surnoms ). De plus, l'image utilisé en en tête n'est pas de / à moi, elle se rapproche autant que faire ce peux de l'apparence de ma partenaire du récit ( pour les moins imaginatif d'entre vous ^^' ).

Voilà, juste un petit rappel parce que c'est le début : )

Aujourd'hui, je vous raconte ma première fois au lit avec la belle " Biche " !

Bonne lecture ! ; )

Première fois avec Biche - Partie 1

Cela fais bien 4 ans que je connais Biche ( 5 ans à l'heure où j'écris .NDLR ), depuis le lycée, il me semble.

A cette période, elle jouissait d'une réputation de cochonne, de nympho et même de salope dans la bouche de certaines filles de l'établissement. On disait de cette brune au regard parfois un peu chaud que, dés le collège, elle avait chercher à perdre sa virginité par tout les moyens, que durant les voyages scolaires, elles couchaient avec des jeunes locaux pour étancher sa soif infini de sexe, avec des professeurs, des vieux pervers, des alcooliques ...

A l'époque, les charmes de cette petite brune, de qui j'étais l'ainé de trois mois, au look rock / goth soft, toujours habillé en noir avec, parfois, les jambes moulées dans un pantalon en faux cuir, ne m'avais pas laisser indifférent. Elle s'était finalement mise en couple avec un ami à moi, mettant un terme à cette attirance de curiosité.

J'avais malgré tout été amené, par le biais de mon ami, à la cotoyer souvent, à sortir avec eux, manger avec eux ... et elle avait finit par devenir l'une de mes amies : une bonne amie avec qui j'échangeai des conseils, des anecdotes et des penchants sexuels ( elle A-DO-RAIT la fellation et elle connaissait mon attirance pour les pieds féminins ) sans jamais aller plus loin.

Quelques années plus tard, je me suis mis en couple avec Chatte ( ma copine actuelle .NDLR ) avec qui nous avons décidé de continuer à libertiner chacun de notre coté et, dans le même temps, Biche se séparait de son petit copain qui allait, comble de l'ironie, déménager loin de chez nous deux mois après.

Même célibataire, elle et moi restions " confident " et nous discutions toujours autant de sujets sexuels ( encore plus depuis ma mise en couple avec Chatte ) que de sujets autres. Je l'avais évidemment mis au courant de mon état de " libertin ".

* * * * * * * * * *

Neuf mois après ces évènements, pendants un mois d'Août durant lequel j'avais profiter tour à tour de ma conditions de libertin pour aller chercher " romance " sur Paris, la capitale toute proche, et de mon couple avec la sulfureuse Chatte, je décidais de passer dire " bonjour " à Biche, dans sa maison familiale qu'elle n'avait pas encore quitter.

Je revenais la veille d'une période de vacance d'une semaine avec Chatte que nous avions passer à nous " réchauffer " sur des plages bretonnes à l'abri des regards indiscrets et a participer à des exhibitions sexuels dans des bars bretons.

J'arrivais donc chez Biche, un peu ( complètement ) à l'improviste en espérant qu'elles n'étais pas partit en vacance de son coté sans me prévenir. En passant devant la baie vitrée de son salon, éclairé par le beau et chaud soleil d'Août, je ne pu que constater le manque de mouvement à l'intérieur. Habituellement, la mère de Biche, femme au foyer de 55 ans, déambulait dans la maison, toujours très occupé. Il manquait également une voiture.

" Merde ... ! pensai-je en approchant malgré tout de la porte d'entrée. Ils sont partis ! "

Pour en être sûr, je pris mon téléphone.

" Yo ! Je suis devant chez toi mais il n'y a pas l'air d'avoir grand monde ... Vous êtes pas chez vous ? "

La réponse de Biche ne tarda pas.

" Mes parents et ma petites soeurs sont partis il y a deux jours pour une semaines dans le Sud. Entre, c'est ouvert "

Je ne me fis pas prier et j'ouvris la porte. Elle n'était pas dans son salon, comme je l'aurai deviné. Le son de sa voix qui m'appellait me fis tourner vers sa chambre.

Et je la trouvais là, assise sur son lit, au fond de sa chambre au mur fleurit par un papier peints commun, en train de se vernir les ongles de ses petits pieds nus. Elle souris en me voyant arrivé, me faisant signe d'approcher.

Ce que je fis, passant à coté de sa pendrie sur laquelle tronait les boites de ses chaussures, longeant son petit bureau d'étudiante sur lequel reposait son PC portable et arrivant sur son lit, où je m'assis avant de lui faire la bise.

La porte fenêtre ouverte donnant sur le jardin éclairait la pièce d'une lumière chaude rafraichit par les douces brises qui rentrait de temps en temps. Mais ce qui rendait l'athmosphère de la pièce encore plus suave pour moi, c'était la présence de Biche ! Sans doutes était-ce la faute de la lumière qui la couvrait à ce moment ou de la chaleur qui exaserbait mes sens mais je ressentis à nouveau le frisson d'excitation sexuel qu'elle créait en moi à l'époque du lycée : en plus fort encore !

Elle était juste à coté de moi, sur son lit, ses sublimes petits pieds nus en train d'être vernis de noir, ses belles jambes, ses cuisses et son jolie petit cul moulé dans son legging en faux cuir ( porté malgré la chaleur ), son buste et sa petite poitrine caché dans un tee-shirt de pyjama ample le tout surplombé par son visage souriant mais concentrés sur ce qu'elle faisait, se mordant doucement les lèvres.

" Alors, comment tu vas ? Lança-t-elle, en continuant son travail. Tu rentres de vacance avec ta copine, non ? Vous avez fais quoi ? "

Je repris mes esprits autant que possible pour lui répondre.

" On a prit une petite chambre à la semaine et on a visité un peu le coin. On a aussi put profiter des plages bretonnes pour baiser : dans l'eau, dans les rochers, sur le sables ... C'était le pied ! On a aussi profiter des clubs échangistes de Rennes, ils font des soirées bien remplit de jeunes l'été, c'était vachement sympa !

- Vous vous êtes pris des bonnes vacances de cul, en somme ! dit elle en rigolant.

- C'est clair ! On s'est fais choper par des promeneurs qui remontait une plage pendant qu'on le faisait dans les rochers : un couple de quarantenaire ! La femme a fait tout de suite demi tour, dégouté mais le mari nous a fixé avec envie ! On lui a sourit et il est repartit en souriant. Et le plus drôle, c'est qu'en retournant à l'hotel après ça, on l'a recroisé, on a rigolé avec lui, on lui a proposé du triolisme et, plus tard dans la soirée, on faisait un plan à trois avec lui ( TOUT EST VRAI ! J'en ferai un chapitre aussi ; ) .NDLR ) ! repris-je.

- Vous éveillez des vocations de libertins, on dirait ! " rigola-t-elle en terminant sa pédicure.

Elle rangea le flacon de vernis dans la boîte adéquat et posa ses deux pieds côte à côte, pour les contempler.

" C'est propre ! lança t-elle. Tu en penses quoi ? "

Je breudouillai un début de réponse, un peu surpris par la question. Elle reprit en souriant.

" Non mais vraiment ! Comment tu trouves mes pieds ? Je ne te l'ai jamais demandé ! "

C'était vrai. Nous avions beau discuter parfois crûment de nos pulsions et de nos relations sexuels passée, jamais nous ne nous étions mutuellement comparer.

Il fallait pourtant que je lui réponde avec autant de sincérité possible et malgré ma demi molle.

" Ils sont vraiment très mignon. Articulai-je. Et tu as bien réussit ton vernis "

Elle sourit puis ramena ses pieds devant elle sur le lit, se tournant complètement vers moi.

" Tu le penses vraiment ? Demanda-t-elle en remuant faiblement ses orteils. Ils sont beaux ? "

Je bafouillais une réponse affirmative, tout en regardant ses petits nus qui me faisait tant envie.

" Et ... Tu en as envie ? Demanda-t-elle tout en faisant glisser son pied droit sur une bosse qui grandissait dans mon jean noir.

- Biche ... murmurai-je. Tu joues avec mon fantasme, là ... Ça va déraper ...

- Je veux bien que cela dérape. " Dit elle en retirant son haut de pyjama, me révélant ainsi sa taille, son ventre et ses touts petits seins que je n'avais pu que deviner depuis que je la côtoyait. 

J'avais beau être libertin, cette soudaine proposition de Biche m'avait désarçonné ! Elle ne me derangeai pas tant que cela, bien au contraire, mais c'était une surprise !

Sa petite poitrine maintenant illuminé par le soleil d'été concrétisa mon erection. Elle resta quelques secondes assise sur ses talons, à un bout de son lit, les seins nus, en me regardant avec envie. Le temps pour moi de revenir à mes esprits. 

Je confirmait ainsi que les hostilités était lancé en enlevant à mon tour mon tee-shirt, exhibant à sa vue mon torse qu'elle connaissait sûrement déjà. Juste le temps pour la belle brune de me décocher un sourire charmeur avant d'envoyer ses petites mains à l'assaut de ma braguette. Celle ci céda bien vite, me laissant tout aussi rapidement avec pour seul vêtement mon boxer noir gonflé par mon sexe pétri de désir. 

" Laisse moi faire. Murmura t elle en tendant ses belles jambes. Si tu aimes mes pieds, tu vas pouvoir en profiter. "

Elle s'adossa alors au mur contre lequel son lit était placé et commença à ballader ses pieds sur mon érection encore voilé par le tissu de mes sous-vêtements.

L'un de ses petits pieds manucuré eu tôt fait de baisser mon boxer, faisant apparaître ma virilité gonflé, le gland a vif. Elle posa ses pieds chauds de part et d'autre de ma verge, entamant un mouvement mal assuré de va et vien de bas en haut : c'était peut être son premier footjob mais elle me faisait du bien. Rien de comparable avec des pieds professionnel mais malgré tout, chaque contact de ses minuscules orteils sur mon gland luisant me faisait frissonné. Elle arborait un air concentré mèlé à de l'excitation. La vision de ses jambes moulés dans le cuir surmonté de ses mignons petits pieds, lisses et pédicurés, s'afferant sur mon sexe était merveilleuse. Mais j'étais prêt pour plus.

" Comment je m'en sors ? Demanda t-elle sans cesser sa besogne.

- Pas mal pour une débutante ! Dis-je entre deux vas et viens. Mais j'aimerai aussi voir ce que tu donnes avec la bouche. tu aimes toujours autant sucer, non ? "

Sur ces mots, elle sourit et fit quitter leurs délicieux travaillent à ses pieds angéliques pour aller se poser par terre, le dos bien droit et les fesses toujours vétu de cuir poser sur ses charmants talons. Je me levais, retirant completement mon caleçon, et m'avança vers elle, ma grosse bite bien entretenu à la main ( aurai-je oublier de préciser sa taille ? .NDLR ).

Une fois assez près d'elle, la petite Biche sortit sa langue et commença de longues lèchouilles, de la base jusqu'au gland, faisant tournoyer sa langue chaude une fois au sommet de mon pénis. Elle prit mon sexe d'une main, mes couilles d'une autre et suça tendrement ces dernières, secouant mon chibre dans le même temps. Sentir la langue de mon amie se ballader sur mon intimité était une sensation excellente, mais rien comparé à la sensation qui me parvint lorsqu'elle fit rentré complètement cette même intimité dans sa bouche bien chaude.

En baissant les yeux, je vis alors le visage de Biche, ma confidente, la bouche pleine de mon sexe, les yeux levé vers moi lui donnant un regard plaintif. Je sentais sa langue tourbilloné autour de mon gland, sa bouche avancé puis reculé sur ma verge palpitante. Ma main se posa sur sa tête pendant que je gémissais, toujours plus fort, à mesure qu'elle suçait.

Soudain, je la vis prendre en bouche plus profondément encore. Mon sexe s'enfonça plus loin encore dans sa cavité buccale, jusqu'à sa gorge : Biche me prennait en " gorge profonde ".

Elle retint sa respiration durant l'action, gardant un visage figé tandis que je me cramponnait à ses cheveux, ne pouvant retenir un râle de plaisir bestiale.

Après quelques secondes, elle fit sortir mon sexe de sa bouche, maintenant tout visqueux, et s'essuya en me regardant tout en me masturbant.

" Je ... Je vien ! " Murmurai-je, le sexe prêt à jouir.

Je la vis sourire, comme victorieuse, puis elle inclina mon sexe, toujours masturbé par sa douce main, vers sa bouche béante, langue sortit et yeux fermé. Je l'essai exploser mon désir dans un énorme râle laissant échapper, par petit jet, du sperm de ma bite encore chaude.

Elle en reçu dans la bouche, sur les lèvres et quelques gouttes chutèrent jusqu'à son pantalon de cuir.

Son regard devint plus pénétrant. Elle avala, lècha ses lèvres et, se levant, elle m'assit sur son lit derrière moi.

" Je sais que tu es encore d'aplomb pour la suite ! " Dit elle en attrapant la taille de son legging de cuire qu'elle commença a descendre.

A suivre dans " Première fois avec Biche - Partie 2 "